Ce blog est la suite d’un premier blog tenu de 2006 à 2014 intitulé : Mon Président – Le blog d’un citoyen qui rêve d’un grand président de la république, aujourd’hui archivé.
Voici la présentation rédigée en 2007
Après avoir milité (en politique depuis l’age de 16 ans, au PS depuis 1977), gravi les échelons de la hiérarchie politique, été secrétaire de section, membre du bureau fédéral, conseiller municipal et Président de groupe, tout en poursuivant une vie professionnelle normale (je suis cadre supérieur dans l’informatique dans une filiale d’un groupe d’assurance), j’ai eu envie de prendre un peu de recul et trouver un nouvel équilibre entre mes vies (politiques, professionnelles et familiales) et mes autres passions (la photo, le cinéma et la photographie, l’informatique et la vie).
C’est pourquoi j’ai entamé ce blog. Il ne sera ni régulier, ni pertinent. Il ne sera ni bien-pensant, ni langue de bois. Je n’ai rien à prouver. Juste l’envie de dire ce que je pense, ce que je crois et faire partager mes passions.
Il s’agit d’un blog personnel où je n’engage que moi, sans caractère public.
La présentation se poursuivait ainsi
J’ai soutenu Dominique Strauss-Kahn à l’élection présidentielle de 2007. Je soutiens ses idées, son approche de la politique, l’équipe qui est autour de lui et son exigence de vérité. Je reste fidèle à cet engagement. Je réitère cette fidélité à ce jour.
Aujourd’hui, je reformulerai de la manière suivante
Après avoir soutenu Dominique Strauss-Kahn dans la primaire en vue de l’élection présidentielle de 2007, puis constaté avec Ségolène Royal et François Hollande, l’impossibilité du Parti socialiste à changer et à répondre aux attentes de ceux qui souhaitent un autre modèle de société, où la croissance n’est pas la réponse à tous les problèmes, où l’humain et la planète sont au centre de l’action plutôt que le capitalisme et la finance, j’ai revisité mon engagement et quitté le Parti socialiste le 31 décembre 2014.
A laquelle j’ajouterai aujourd’hui ceci
Chaque jour qui passe montre le besoin d’une autre manière de faire de la politique, de revoir les modèles, de penser différemment. Chaque jour qui passe accumule les évidences du dysfonctionnement du système, qu’on le nomme capitaliste, libéral, financier ou de compétition mondialisé. Mais chaque jour qui passe, ne semble pas rapprocher le monde politique d’une prise de conscience.
La conclusion reste la même
J’espère faire partager mes idées, participer à une réflexion politique et surtout m’amuser en parlant de ce que j’aime : la politique, la musique, la photo et le cinéma.
Mis à jour et édité le 3 avril 2020